mercredi 16 juillet 2008
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Le site blog de votre délégué syndical CFTC Bronzo Marseille. Le site qui vous informe en temps et en heure de tous ce qui se passe au sein de l'entreprise Bronzo et plus particulièrement sur le site de Bronzo Marseille. Ce site et consacrer notament aux salarié cadre et non cadre de Bronzo.
COMMENT JOINDRE VOTRE DELEGUE CFTC :
TELEPHONE PORTABLE :
06.11.58.32.83
BLOG INTERNET :
http://cftcbronzo.blogspot.com/
EMAIL :
benoitkristof.cftc@gmail.comchrétiens, est un syndicat de salariés français se référant à la morale sociale chrétienne. Elle est reconnue "représentative" par un décret interministériel de 1966, au même titre que la CFDT, la CFE-CGC, la CGT et la CGT-FO (présomption irréfragable).
Sommaire[masquer] |
La CFTC favorise la négociation, la discussion, jusqu'à la médiation avant toute action plus revendicative. Pour cette organisation, la grève n'est que l'ultime solution lorsque tous les autres moyens n'ont pas donné satisfaction. Elle se déclare "syndicat de construction sociale".
Parmi ses chevaux de bataille, la CFTC insiste sur le fait que la vie ne se limite pas au travail. Cette valeur est et a été à la base de nombreux combats, de la mise en place des allocations familiales par exemple jusqu'à la défense du repos dominical en tant que journée commune à la plupart des citoyens pour la vie de famille, les loisirs, le sport, l'engagement bénévole, etc. Pour la CFTC, la société ne doit pas se limiter à la consommation.
La CFTC veut mettre le travailleur au centre de sa vie, le rendant acteur au maximum de ses choix et de son avenir lorsque cela est possible. Pour ce faire, elle préconise que les parcours soient sécurisés pour que chacun puisse vraiment faire des choix, sans subir une situation ou un système. Dans le même ordre d'idée, l'organisation syndicale laisse une grande liberté aux syndicats qui la composent, conscients qu'ils sont plus au fait de la réalité pour défendre sur le terrain les travailleurs. Cela ne l'empêche pas de rappeler à l'ordre, voire de mettre sous tutelle certaines organisations.
La CFTC s'affirme indépendante de tout parti et de toute organisation. Pour elle, la référence au christianisme s'entend comme attachement à la doctrine sociale chrétienne (solidarité, fraternité, justice sociale...), pas comme une identité confessionnelle. Les adhérents ne sont pas forcément chrétiens mais se retrouvent dans certaines valeurs.
La CFTC est divisée en 22 unions régionales, 100 départementales et 249 unions locales. Elle compte 1 145 syndicats regroupés en 14 fédérations professionnelles (commerce-services-forces de vente, enseignement privé, métallurgie, collectivités territoriales, transports, télécoms, banques...).
La confédération est dirigée par un Congrès et un Conseil Confédéral qui se réunit trois fois par an et qui est chargé de contrôler l'exécutif. L'exécutif est bicéphale, il est composé d'une commission exécutive et du bureau national. Son président actuel est Jacques Voisin. Jacky Dintinger est secrétaire général. La CFTC édite un magazine : "La Vie à Défendre". La CFTC est membre de la Confédération syndicale internationale (CSI). Auparavant elle appartenait à la Confédération mondiale du travail (CMT).
Avec 132 000 adhérents, la CFTC a réalisé un score de 9,7% aux élections prud'homales de décembre 2002, en progression de 2,2% par rapport à 1997. Aux dernières élections des comités d'entreprise, la CFTC est la seule confédération syndicale à progresser, avec 6,7 % contre 6 % en 2001 et moins de 5 % quelques années plus tôt. En 2006, la CFTC présente son projet du Statut du travailleur, lancé par le « rapport-programme » dès 1999 et concrétisé par un groupe de travail depuis 2003. Le 1er mai 2008, la CFTC rassemble près de 6000 personnes lors de son défilé unitaire à Paris autour du thème du pouvoir d'achat.
Le syndicalisme chrétien est né le 13 septembre 1887, avec la création du Syndicat des employés du commerce et de l’industrie. Les dirigeants de ce groupement furent à l'initiative de la fondation de la CFTC les 1er - 2 novembre 1919, regroupant 321 syndicats et se réclamant de l’encyclique Rerum Novarum. Son objectif est de contrer la toute-puissance de la CGT dans le milieu ouvrier. Jules Zirnheld en fut le premier président, poste qu'il occupa jusqu'en 1940.
En 1940, la CFTC est dissoute par le régime de Vichy. En raison de l'action de certains de ses membres dans la résistance (elle fut membre active du Conseil National de la Résistance), elle fut maintenue comme organisation syndicale représentative malgré l'hostilité de la CGT qui alla jusqu'au Conseil d'État en vue de la faire interdire.
En 1964, une majorité de la CFTC menée par le groupe « Reconstruction » décide la déconfessionalisation et le choix de la lutte des classes pour donner naissance à la CFDT, tandis qu'une minorité décide de maintenir une CFTC via une scission minoritaire (environ 10%) avec en particulier la fédération des métaux.
La CFTC sera favorable au rapport de Pierre Sudreau sur la Réforme de l'entreprise en 1975. Elle soutiendra la création du RMI en 1988 et se montrera neutre quant à la création de la CSG en 1990. Le syndicat sera favorable aux 35 heures, aux emplois-jeunes, à l'élaboration de la loi de 1998 contre les exclusions et à la loi créant la CMU.
En octobre 2008 la CFTC organisera son cinquantième congrès confédéral.
Marseille, le 25 avril 2008
Prenez votre carte cette année à
ü De l’assurance contre la perte de points et du permis de conduire,
ü D’une protection juridique (Avocat,…), de conseil par des professionnels et d’une organisation.
ü D’une expérience de longues dates dans les lutent social.
Alors n’attendez plus adhéré, comme moi, à
RESUME DES GARANTIES DU CONTRAT « PERSONNELS DES TRANSPORTS ». Mise en place à partir du 1 mai 2008.
Quel est sont objectif :
1. Suspension de permis de conduire
2. Invalidation ou annulation de permis ( suite à un accident de la circulation, une infraction au code de la route ou à la perte de points de votre permis).
3. Inaptitude à la conduite.
Quelles sont les indemnités en cas de suspension, invalidation ou annulation du permis de conduire :
ü En cas de reclassement ou de suspension du contrat de travail :
Vous percevez pendant 6 mois max ; une indemnité correspondant à 90% de la perte réelle du salaire net.
Dans le cas ou la durée du reclassement est supp. à 6 mois, une indemnité forfaitaire complémentaire égale à 1 mois de salaire net vous est versée.
ü En cas de licenciement :
Vous percevrez un capital variable selon votre ancienneté dans la profession de:
1. 2 mois de salaire net (moins de 5 ans).
2. 4 mois de salaire net (moins de 10 ans).
3. 6 mois de salaire net (plus de 10 ans).
Vous serez également indemnisé des frais que vous aurez exposé pour suivre un stage de reconversion, et ce, à la concurrence de 1 mois de salaire net.
ü Les frais de stage de sensibilisation à la sécurité routière sont garantis, sur justificatifs, à la concurrence de200€, lorsque vous faites l’objet d’une suspension de permis.
POUR PLUS D’INFORMATION CONTACTEZ VOTRE DELEGUE SYNDICAL CFTC DE BRONZO .
Changer notre société, en finir avec l’exploitation et toutes les oppressions. C’est dans l’entreprise que se noue la contradiction entre le capital et le travail, c’est le lieu de l’exploitation.
Deux remarques préalables :
Il y a un manque cruel « de représentativité syndicale » de ce qui se passe dans l’entreprise, dans le sens où d’une part la réalité de la vie à l’intérieur des entreprises échappe au débat public et d’autre part, dans l’entreprise, la politique n’a pas sa place alors même que les directions communiquent en permanence leurs messages libéraux : la démocratie s’arrête bel et bien à la porte des entreprises !
Pour certains d’entre-nous, nous sommes de plus en plus souvent en position de « faire vivre le syndicat », de le construire, de veiller à son unité… ce que beaucoup de camarades vivent comme contradictoire avec une apparition politique. Pour d’autres, la précarité les contraint au silence !
Pour analyser et comprendre la réalité du fonctionnement du système
Importance de comprendre les orientations, les stratégies patronales, quoi produire et pourquoi le produire, comment le produire et où le produire… Importance de démonter la « cohérence » du système, alors que l’essentiel du mouvement ouvrier en accepte la logique fondamentale et ne le conteste qu’à la marge. On n’arrête pas de trouver dans le fonctionnement quotidien et concret du capitalisme des raisons d’en finir avec ce système. Il s’agit donc pour nous d’être présents dans les entreprises et de se donner les moyens de réfléchir, d’élaborer collectivement à partir de la diversité des ces expériences concrètes.
Pour analyser et comprendre la réalité des conditions de l’exploitation : Les conditions de l’exploitation ont changé. Ce dont témoigne l’explosion de la souffrance au travail qui exprime non seulement
la pénibilité physique et mentale de la charge de travail, (travail à la chaîne, travail de nuit…)
Mais aussi la perte totale de sens d’un travail qui n’a plus pour objet de faire, de fabriquer, de créer ou de rendre un service dont on peut être fier, mais dont il apparaît de plus en plus crûment que la seule finalité est le profit (et pas seulement dans l’industrie) ou le maintien des conditions de réalisation de ce profit (exemple du travail social).
Et surtout ces organisations du travail détruisent les collectifs de travail, grèvent les capacités de résistance au quotidien, la complicité et la solidarité, c’est la conséquence du contexte global de chômage de masse et de précarité, de la chasse à tous les « temps morts », la réduction des effectifs et l’intensification de travail, la mise en concurrence par toutes les individualisations (primes, objectifs individuels…), l’éclatement des statuts avec le recours accru à la sous-traitance. On assiste dans bien des lieux de travail à une véritable stratégie de guerre de tous contre tous. Cette stratégie pèse très lourdement sur les réflexes collectifs, sur les luttes, il s’agit en tant que telles de défaites infligées aux salariés par le libéralisme réel. Toutes ces souffrances individuelles sont en elles-mêmes une condamnation sans appel de ce système, (notre point de vue est aussi humaniste !) nous ne devons pas négliger cet aspect. Il est donc décisif de s’approprier d’un point de vue politique les questions des conditions de travail et de la santé au travail. Pour élaborer notre programme, notre plan d’urgence, pour trouver les moyens de l’expliciter pour le plus grand nombre, il faut pouvoir nourrir notre réflexion de l’expérience vécue au sein des entreprises (qui restent des lieux de secret, dont les réalités ne filtrent à l’extérieur que de façon déformée par la propagande patronale).
Pour mener la lutte, construire le rapport de force
Si nous pensons que le changement révolutionnaire de la société sera le fait des mobilisations de masses (et pas des élections pour aller vite), cela suppose qu’à un moment nous ayons les moyens d’arrêter la (les) machines, de bloquer le système, d’arrêter la production, les transports, les communications… et cela ne peut se faire qu’à partir des entreprises (cela n’exclut pas le rôle des manifestations de masse et s’articule avec l’intervention dans les quartiers populaires). Il faut donc dans les entreprises des militant-es SYNDICALISTE qui défendent cette perspective et qui la préparent. C’est évidement une affaire de projet politique, de propagande…(avec les feuilles de boîtes) mais cela passe tout particulièrement par la question de l’auto organisation, de manière privilégiée dans les luttes (avec les AG décisoires, les comités de grève…), mais aussi en développant au quotidien la prise en charge par les salariés eux même de leurs affaires.
2 - Pour notre militantisme dans l’entreprise, nous avons besoin d’un projet et d’un outil : d’un parti politique.
Il y a un point particulier sur les rapports parti/syndicat. Le parti n’a pas dans l’absolu l’exclusivité du projet global de transformation sociale. Mais aujourd’hui, avec la domination d’un syndicalisme d’accompagnement, on peut penser à une reconstruction d’une alternative syndicale porteuse d’un tel projet .
L’utilité d’une référence, d’un projet politique pour reconstruire l’espoir…
Nous avons tous fait l’expérience dans nos boîtes de l’effet des campagnes présidentielles d’OB, de ces remarques entendues autour de nous : « il est comme nous », « il est des nôtres », et la fierté qui en découle, qui est une fierté de classe ! (ce n’est pas si courant et c’est très positif !)
L’utilité d’une compréhension globale, d’un projet politique pour intervenir dans les entreprises
Les exemples fourmillent de pourquoi les seuls intérêts ou préoccupations immédiats des salarié-es dans une entreprise ne permettent pas de définir une position : Le « Produisons français » qui peut apparaître comme la bonne réponse à des licenciements ici et maintenant est une monstruosité d’un point de vue internationaliste. A contrario : le mot d’ordre d’interdiction des licenciements permet de mener une lutte concrète contre les licenciements plus efficace, la défense d’augmentations générales uniformes… Il faut un cadre global pour résister, les glissements sont très fréquents, par exemple sur l’intéressement ou l’actionnariat salarié… Et notre conception du salaire socialisé est indispensable pour tout ce qui touche à l’assurance maladie ou à la retraite. Toutes les questions d’extension, de coordination, de généralisation sont souvent volontaristes, elles sont portées par une conception politique de construction d’un mouvement d’ensemble, tout comme la mise en avant de l’auto organisation. Le cadre global est indispensable pour lier les exigences sociales et toutes les dimensions de notre programme : l’écologie, l’internationalisme, l’antiracisme, le féminisme L’articulation écologie / emploi : l’exemple d’AZF ou du nucléaire.
Notre plan d’urgence doit servir aux mobilisations.
Il prend tout son sens à partir du moment où les exigences qu’il met en avant deviennent effectivement des objectifs de lutte pour les salari-es. L’exemple d’une campagne pour les 300 et 1500 euros net.
Pour construire des cadres unitaires de mobilisation, des campagnes politiques Sur certaines questions, il faut être capable de mener une campagne politique au-delà de l’entreprise et dans un cadre plus large : par exemple sur la question des services publics, on ne peut se limiter à une défense service par service (comme le fait trop souvent le mouvement syndical) et un cadre comme celui du collectif national est indispensable… Sur la question des médicaments il y a place à une campagne politique, unitaire qui dépasse la stricte défense de tel ou tel site de production mais pose la question du médicament « qui n’est pas une marchandise ! »…
Quelle intervention politique ?
La propagande régulière dans l’entreprise avec les feuilles et bulletins… Mais aussi des militant-es en chair et en os, « hommes –et femmes- de confiance », connus et reconnus dans l’entreprise comme militant-es politiques. (nous constations l’effet dans l’entreprise d’être candidats pour
Quel outil ? Comment s’organiser ?
Nous devons contribuer au débat sur la structuration du nouveau parti en prenant en compte plusieurs objectifs : une implantation dans les quartiers populaires, une implantation dans les entreprises, une visibilité du parti de manière globale donc la capacité à mener des campagnes politiques de tout le parti, des cadres qui permettent de débattre collectivement afin d’être utiles pour les débats syndicaux et l’élaboration… Cela suppose sans doute d’avoir des structures à plusieurs niveaux : géographique / entreprises, branches ou secteurs.
Contacts : courriel : benoitkristof.cftc@gmail.com Tel : 04.91.08.91.24
Le délégué syndical de
M. Benoit Kristof
Marseille, le 25 avril 2008
ü Franchises médicales.
ü Diminution massive des retraites.
ü Déremboursement de médicaments.
ü Suppression des 35 heures.
ü Refus de Grenelle des salaires.
ü Suppression de services publics.
ü Pillage du livret A.
ü Vente des logements sociaux.
ü Inaction devant la hausse des prix alimentaires et de l’énergie.
ü Diminution des allocations familiales pour 4.5 millions de familles.
ü Suppression du remboursement pour la vue.
ü Remise en cause de la carte famille.
ü Limitation du remboursement des congés maladie.
Ainsi 7 milliards d’Euro nous ont été pris, tandis que 15 milliards d’euro ont été offert par le gouvernement, aux riches !
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